Ce jeudi 1er avril, la proposition de loi pour une « fin de vie libre et choisie » menée par le député de la Charente-Maritime Olivier Falorni a été adoptée en commission.
Cette première victoire n'est que le début d'une bataille parlementaire qui risque d'être de longue haleine. Navette parlementaire oblige, le texte a encore un long chemin à faire avant son adoption. S'il n'est pas encore voté, il remet pourtant sur la table la question d'une « hypocrisie » de la loi « Leonetti » qui interdit l'euthanasie alors que de nombreux Français vont à l'étranger pour mettre fin à leurs jours. Aujourd'hui des pays comme les Pays-Bas la Belgique, le Luxembourg ou encore l'Espagne et le Portugal ont déjà adopté une loi autorisant "la mort médicalement assistée". Cette bataille politique, menée depuis 2015 par le candidat du « renouveau, a de bonnes chances d'aboutir. Prochaine échéance le jeudi 8 avril pour que le texte soit confirmé en séance.
Fierté, émotion et gratitude pour mes collègues de tous les bords politiques qui ont adopté en commission la #PPLfindevie que je leur proposais après un débat qui a fait honneur à l’AN. C’est une 1ère grande victoire pour le droit à notre Ultime liberté‼️#8avril pic.twitter.com/HGqYCX9hSs — Olivier Falorni (@OlivierFalorni) April 1, 2021
Fierté, émotion et gratitude pour mes collègues de tous les bords politiques qui ont adopté en commission la #PPLfindevie que je leur proposais après un débat qui a fait honneur à l’AN. C’est une 1ère grande victoire pour le droit à notre Ultime liberté‼️#8avril pic.twitter.com/HGqYCX9hSs
Vincent Larregain